Nicolas sarkozy s'exprime sur la crise
Et ça fait peur. Ça y est, le Grand Petit Homme a parlé, et il l'a fait avec toute l'énergie et la démagogie de l'idiot en Colère , comme on le surnomme du côté de la Grande Muraille.
Qu'a dit le guide spirituel des auditeurs des Grosses Têtes et des piliers de bistrot ? Rien de vraiment intéressant, pas d'analyse factuelle, encore moins de propositions de sortie de crise, pas de perspective de grand chambardement ni même d'amortisseur pour tout ce souk.
Changer le système, vous n'y pensez pas!!! De toute façon, Sarko est un camelot, doté d'idées, ultra courtes, des slogans publicitaires que l'on doit refourguer à toute vitesse, des messages que l'on bourre dans le crâne des crétins qui votent pour ça, tout en leur interdisant les remboursements permettant de soigner migraines, hémorroïdes et déprimes post électorales en résultant.
Sarkozy est un idéologue libéro thatchérien, sans trop savoir pourquoi. Le côté réac de tout cette mentalité lui convient bien , mais c'est de l'économie ou de l'analyse sociétale à la tripe. Économiquement, il serait bien incapable d'expliquer ses convictions et leur bien fondé. Chez lui, on est dans le viscéral (et oui, c'est le type du tout est génétique), les riches sont riches et doivent l'être encore plus, les pauvres sont pauvres, c'est de leur faute.
Et les vaches seront bien gardées, mais grâce au retour à la foi que l'on prône par la laicité positive, peut être que, post mortem, les derniers seront les premiers, même si on peut en douter.
La grande trouvaille de notre monsieur Jourdain du néo libéralisme, il faut trouver les responsables du désastre et les sanctionner. Et là, stupeur et applaudissement au bistrot "chez Dédé", il a raison Sarko, faut qu'ils payent ces salauds.
Calme toi, Maurice, les responsables, on les connait depuis une trentaine d'année, il y en d'internationaux comme de nationaux, on peut citer tous les dirigeants politiques de cette période, les industriels et financiers, les journalistes proagandistes, les pubards refourguerus de discours mais à l'arrivée Maurice, passé le sursaut démagogique du p'tit Nigaud, euh, Nico, c'est toi (et moi, et d'autres) qui paiera.
Tu paieras pour les banques, qu'on ne laissera pas s'effondrer par exemple, et on ne te demandera pas rton avis. On livrera peut être u ou deux aigrefins façon Kerviel, les chargeant de toute sles tares, alors que c'st le système qui est ainsi. Le poisson pourrit par la tête, c'est peut être ça qu'il faur revoir.
Revoir tout le système économique en vigueur. Mais bon, notre tout petit président pousse une fois deplus ses cocoricos ridicules et démagos, sans aucune réflection, aucune analyse, si, celle d'un pilier de bar (à nouveau), d'un fort en gueule, mais ça ne va pas plus loin . Madame Langlois, une bière, au comptoir !